Nous voilà au volant de notre superbe Toyota Yaris prêt pour partir à la découverte d'Al-Ain.
Mais avant de partir il faut parler un peu de cette location de voiture, ici il est facile de louer une voiture et on se s'embête pas avec des formalités inutiles : Un permis international, un passeport, le tour de la voiture rapidement, et hop c'est parti ! On ne se prend pas la tête avec l'essence, la voiture revient avec la quantité d'essence qu'il reste dans le réservoir, le suivant fait le plein s'il en a besoin, mais le loueur ne s'occupe absolument pas de cela. Côté prix, la location ne coute pas grand chose, c'est paradoxal par rapport au cout de la vie ici, nous payons 90 Dirams (18€) par jour avec 500km/jours.
Mais avant de partir il faut parler un peu de cette location de voiture, ici il est facile de louer une voiture et on se s'embête pas avec des formalités inutiles : Un permis international, un passeport, le tour de la voiture rapidement, et hop c'est parti ! On ne se prend pas la tête avec l'essence, la voiture revient avec la quantité d'essence qu'il reste dans le réservoir, le suivant fait le plein s'il en a besoin, mais le loueur ne s'occupe absolument pas de cela. Côté prix, la location ne coute pas grand chose, c'est paradoxal par rapport au cout de la vie ici, nous payons 90 Dirams (18€) par jour avec 500km/jours.
Nous faisons le plein (60 Diram soit 12€) et nous voilà partis sur cette grande autoroute à 3 voies qui relie Abu Dhabi à Al-Ain. Comme toutes les routes du pays, elle est éclairée la nuit et bordée d'arbres (ce qui veut aussi dire irriguée car nous sommes en plein désert...). On remarque également que les camions, les poids lourds, sont interdits sur l'autoroute, ils doivent emprunter des routes spéciales camions (truck road). Côté vitesse, la limitation est de 120Km/h, mais Karim nous a appris que les radars automatiques ne fonctionnent que pour une vitesse supérieure à 160km/h.La tolérance est grande, du moins pour l'instant, il est prévu de réduire cette tolérance ces 2 prochaines années afin de ramener la vitesse des radars à 120km/h.
Il nous faut 1h30 pour descendre sur Al-Ain. C'est une oasis en plein désert (il faut dire que les Emirats Arabes Unis sont, pour une très grande partie, que du désert), c'est d'autant plus étonnant de voir le développement, la modernisation, l'utilisation de l'eau...etc...quand on sait qu'il fait très chaud, et que tout est entouré de sable...
Nous arrivons à Al-Ain avec un temps complètement bouché, nous voulons monter sur LA montagne de la région, mais malheureusement celle ci à dû être démontée avant notre arrivée, nous ne voyons absolument rien, à part un nuage de sable qui flotte tout autour de nous... c'est d'ailleurs étrange, parce que dans cette purée de sable, nous avons l'impression d'être sur une autre planète, c'est un paysage lunaire qui nous entoure... étrange mais tout cela semble magnifique... pourvu que demain le temps se lève...
Nous profitons de cette première journée pour aller visiter le musée national d'Al-Ain (dans le fort du Sultan Bin Zayed, qui retrace l'histoire des Emirats et des Bédoins.
Puis nous partons pour le Zoo d'Al-Ain, un ami de Christelle et Karim nous avait conseillé de le visiter car un nouvel animal vient d'arriver... Un tigre blanc !!
Puis nous partons pour le Zoo d'Al-Ain, un ami de Christelle et Karim nous avait conseillé de le visiter car un nouvel animal vient d'arriver... Un tigre blanc !!
Nous profitons de cette visite au Zoo pour voir un spectacle de dressage d'oiseaux : Aigles, Chouettes, Vautours, Faucons qui passent à quelques cms au dessus de la tête du public...
Il paraît qu'Al-Ain ressemble à Dubaï il y a 10 ans, nous avons effectivement l'impression que la vie est plus authentique ici. Nous croisons beaucoup plus de « locaux », la vie semble moins « fashion », dans ce coin plus reculé de la capitale. (Petite précision : Il y a 7 Emirats dans ce pays, et Al-Ain fait parti de l'Emirat d'Abu Dhabi).
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